Une oeuvre de jeunesse qui n’en reflète pas moins les aspirations révolutionnaires de Pouchkine dans une période (1820) marquée par des soulèvements révolutionnaires en Europe et en Russie.
Rouslane et Lioudmila prend la portée d’un véritable manifeste littéraire qui provoque des attaques violentes contre ce « langage de moujik » et ces « images populacières ».
Une idylle épique dont le cadre est une Russie Kievienne d’opéra comique et dont la fraîcheur et l’humour restent intacts.
« Dans la salle haute du palais, Vladimir le Soleil marie sa fille cadette au Prince Rouslane le Brave… »
Alors que les jeunes époux sont enfin seuls dans leur chambre nuptiale, un coup de tonnerre retentit, une fumée épaisse enveloppe le grand lit…
Quand Rouslane revient à lui, Lioudmila a disparu, enlevée par le magicien Tchernomor. Il part alors à a recherche de sa bien-aimée, mais avant de la retrouver il devra affronter bien des épreuves…